CITOYEN DE PANEM  |  Sujet: Justice et qui veut | Comment des rumeurs peuvent gâcher votre journée.  Sam 7 Avr - 16:15 | | | 
Comment des rumeurs peuvent gâcher votre journée.
"Regardez les gars c'est la nouvelle maîtresse de Mr. Hastings" Je failli défaillir, Cherydan Brisbane se tenait devant moi attroupée avec toutes les autres mégères de son acabit. Voilà deux jours que ce genres de rumeurs cour sur moi, évidemment c'est Cherydan qui les a lancés, juste parce-qu'elle a appris que j'étais a sec. Cette fille et ses copines me sortent par les yeux depuis la maternelle, surtout quand j'ai appris que la cousine de Cherydan étaient la maîtresse de mon père, seulement son père ma menacer avec une arme si je faisais rependre des rumeurs sur sa famille alors je n'ai rien fait, je préfère me faire insulter plutôt que tuée, mes frères ont besoin de moi. Heureusement pour moi, une épidémie de peste a touchée la famille Brisbane et a tué le frère et la mère, dommage, j'ai bien rigolé en l'apprenant et la tronche de Cherydan en prime pendant quinze jours durant ma comblée de bonheur si je puis dire. Tout en elle me répugne, de sa manière de marcher a son façon de nouer ses cheveux, comme si elle était une carrière juste parce-qu'elle en a vu des fois en allant au 2 avec son père un haut gradé parmi les pacificateurs, un es seuls ayant le droit d'avoir des enfant de de s’être mariés.
Les filles de Brisbane rient toujours quand je repart chez moi, Mr. Hastings est notre voisin, le pauvre homme a perdu femme et enfants il y a deux ans, enfants, mort aux jeux, femmes morte d'une crise cardiaque enfin les soupçons ce portent plus sur le suicide, c'est un homme gentil, la main sur le coeur qui na jamais rien demandé a personne. Les copines de Bribane me reluquent plusieurs fois qu'en j'entre dans la maison d'Adele, la cousine de Mr. Hastings et la nounou de mes frères, c'est seulement pour eux que je travaille d'arrache pieds chaque jours, ce serait si facile s'en eux mais je n'y pense pas, Adele m'a proposer plusieurs fois le foyer communale qui les feraient adopter mais personne n'en voudrait et je ne suis pas prête a m'en débarrassé. Qu'en je sors, le village a presque les yeux totalement rivé sur moi mais je ne dit rien, comme las jours suivant jusqu'au jours ou je me jette a corps perdu sur Brisbane, je lui hurle toutes les insanités qui me tourne dans la tête depuis longtemps, je la roue de coups, sa ne sert a rien, je risque la mort vu le grade de son père m'ai je m'en fiche et je cris aux spectateurs, des villageois pour la plupart qui connaissent mon histoire mais qui semblaient l'avoir oubliée les jours précédents :
"Alors pauvres gens vous croyez donc toutes les bonnes paroles de notre amie Brisbane seulement parce-que son père est pacificateur, vous avez peur de lui ou bien vous pensez que toutes les jeunes filles du village en quête d'argent se jettent dans les bras d'hommes de trente ans le aînés, j’avais vous dire moi, sa ne me serait jamais arrivée de faire une chose pareilles, une chose comme la faite la cousine de cette chère Cherydan avec mon père ! " Toute l'assistance est abasourdie et les jours suivants la famille Brisbane est tellement huée que ceux-ci se sont cloîtrés dans leurs maison.
|
|
