PRÉNOM(S) ϟ Ces parents étaient des originaux, marginaux et un rien illuminés sur les bords pour décider d'appeler leur fille unique Cano. Première du nom dans Panem. Son second prénom, Luna, est un héritage de mère en fille depuis bien des générations ; NOM ϟ Lulinoos, probablement dernière de la lignée ; DATE DE NAISSANCE ϟ Le 14 février, jour de la saint Valentin et des amoureux, Cano a maintenant 17 ans  ; DISTRICT ϟ Actuellement et depuis sa naissance, Cano est originaire du district 7 mais rêve un jour de parcourir Panem et le Capitole telle une rockstar ; METIER ϟ Cano est serveuse dans la taverne de son oncle Sam depuis quelques mois. Peu encline aux études et au travail manuel, ce petit job est une opportunité idéale pour commencer dans la vie active. Elle est également chanteuse et guitariste amatrice en soirée, toujours dans la taverne de son oncle ; SITUATION CIVILE ϟ Célibataire mais c'est compliqué. Comme toujours dans ces cas-là. Amoureuse ? Troublée ? Cano n'est pas encore sûre de ses sentiments  ; ALLÉGEANCE ϟ Aucune allégeance, Cano voit du pour et du contre dans les deux camps. Maintenant elle croit en ce qui est juste ; GROUPE ϟ SACRIFIED LAMBS ; CRÉDIT ϟ précisez ici les crédits de votre fiche de présentation, notamment pour les bannières et les icons

QUE PENSEZ-VOUS DU GOUVERNEMENT ET DU PRÉSIDENT ? Le président semble être un sinistre personnage, mais pour ce que j'en sais, c'est lui le patron de Panem et il doit être aussi concerné de ma vie que moi de la sienne, car la politique est un sujet qui ne m'intéresse pas. Bon, le gouvernement est certes un peu trop versé dans l’oppression et les abus mais au final, mieux vaut cela à l'anarchie. J'aime le Capitole, du moins ce que j'en vois à la télévision, c'est une mégalopole féerique mais j'aime aussi mon district.

QUEL EST VOTRE AVIS SUR LES JEUX ? Un avis sur les jeux ? C'est tellement super de voir des jeunes me mon âge se trucider gaiment le sourire aux lèvres que j'en trépigne d'impatience devant mon écran. Non sérieusement, c'est une horreur est tant que je n'ai pas atteint la date fatidique de mon 22ème anniversaire, une épée de Damoclès pesante sur mes épaules. D'accord, cela arrive toujours aux autres, mais à chaque moisson c'est l’angoisse et le soulagement malsain que ce soit une autre gamine à ma place. En conclusion, c'est le divertissement le plus morbide de l'histoire de la télé !

RÉCEMMENT, LE CAPITOLE A SUBI UNE VAGUE D’ATTENTATS. QU'EN PENSEZ-VOUS ?
Terrible ! Un instant on nous promet la fin des jeux, événement déjà assez historique que pour être doublement fêté lors de la fête du printemps et en quelques secondes tout s'écroule dans une série d'attentats terroriste. Ou comment passer de l'espoir à l'incompréhension et à la colère. Bon, certains parlent de mise en scène, ce fut d'ailleurs des plus houleux dans mon district, mais au vue de la mine meurtrie du président quelques jours plus tard, j'y crois moi. Heureusement, ils ont arrêté les coupables et identifié le cerveau de l'affaire. D'un autre côté, on est bon pour une nouvelle rébellion et la remise en place des Hunger Games, la répression supplémentaire dans les districts, c'est cadeau. Ça craint !

COMMENT VOUS COMPORTERIEZ-VOUS DANS L’ARENE PENDANT LES JEUX ? En restant moi-même autant que possible je pense. En tout cas, je ne renierais pas mes principes pour cause de mort imminente devant des millions de spectateurs. De plus, je ne pense pas être la plus apte à survivre dans ce genre de jeu. Au combat, je ne suis pas exceptionnelle même si je peux me défendre mais niveau survie c'est pas le haut niveau de la débrouillardise en terrain hostile non plus. Punaise, je serais vraiment un tribut pitoyable à m'entendre parler ainsi, inutile de me moissonner sauf si vous voulais que je tue un adversaire à coups de chansons et d'humour noir et que ma personnalité attachante ne décoche des flèches en plein cœur des autres tributs. Quoique cela m'offrirais l'opportunité d'une scène extraordinaire pour lancer ma carrière d'artiste et... D'en sortir quelques albums posthumes après une mort imminente au sommet du hit-parade. Bon, le seul avantage que je peux trouver dans une situation si extrême, c'est d'avoir déjà dû me salir les mains et d'être capable de gérer émotionnellement cela tout en gardant mon sang-froid. Je peux être impitoyable si je me retrouve face à quelqu'un qui mérite de mourir. C'est mon esprit un brin chevaleresque et mon goût pour la justice qui parlerait mais à contrario, je me vois mal lever la main sur un innocent.

QUE PENSEZ-VOUS DE LA SPECIALISATION DE VOTRE DISTRICT, DE VOTRE NIVEAU DE VIE ? District 7, le paradis du bois et du papier. Ce que j'en pense c'est que cela fait beaucoup d'arbres. Si l'on excepte toutes les scieries, menuiseries, les entrepôts et les sociétés de transports, cela nous fait toute de même un district très verdoyant et sympa à vivre tant que l'on possède une situation aisée. Pour ma part, j'ai récemment pris mon indépendance loin du nid familial, bien obligé car avec l'arrivée de mes triplés de cousines à la maison, on se marchait vite sur les pieds. Du coup, avec mes maigres économies et un sacré crédit j'ai trouvé une petite maison qui ne tombe presque pas en ruine l'été. Un job aussi, je n'étais pas faite pour les études, du coup je suis devenue serveuse dans la taverne que tient mon oncle Sam. Suffisant pour boucler les fins de mois et sur mes premières épargne je me suis achetée une guitare d'occasion au marché noir. Ha ! Le district du bois cela tombe bien ! Les instruments sont de bonne qualité !

La Saint Valentin, il y a 17 ans. Quelle plus belle preuve d'amour peut-on offrir à un couple que le fruit né de leur union ? Une petite frimousse, deux petit yeux bleus déjà grands ouverts et un premier sourire, Cano Luna Lulinoos est arrivée parmi nous deux semaines avant la date prévue, trop impatiente de découvrir le monde qui l'entoure ! Cano... Drôle d'idée pour un prénom, mais la petite, fille unique, n'a jamais manqué d'amour de la part de ses parents bien que la vie dans le district Sept est parfois compliquée. Farrah et Denos, les parents en question, instituteurs tout deux n'ont jamais hésité à couver et chérir leur enfant et jamais durant son enfance, elle n'a manqué de rien. Et certainement pas de paroles ! Si elle n'est pas a proprement parler une pipelette de compétition, Cano se découvre rapidement une passion pour la chanson et la musique et cela dès son premier tambour en bois, au grand dam de ses parents pour le coup.

Scolairement, avoir ses parents instituteurs la force à redoubler d'effort car le moindre relâchement est directement rectifier. Trop même car la gamine souffre un peu de manque d'attention et se détourne rapidement des cours pour rêvasser. Une rêveuse, c'est le mot, s'émerveillant devant les retransmissions du Capitole, idéalisant une ville pleine de merveilles inconnues dans le district. Autour d'elle, on a beau diaboliser ses excès et son président, Cano n'y voit que les bons côtés. C'est un peu comme cela qu'elle vit, en prenant toujours le meilleur d'une situation et en occulte le mauvais. Non, ce n'est pas tout à fait vrai, une chose la met hors d'elle, c'est l'injustice. Prenant bien souvent la défense des plus faibles quitte à s'attirer elle-même des ennuis, cela n'a pas d'importance, déjà petite, elle est une personne vraie et impulsive, réagissant à ce qui l'entoure même si cela lui apporte parfois quelques éraflures et des réprimandes. Mais elle est comme ça, se battre avec des garçons et avoir le sourire aux lèvres cinq minutes plus tard, la joue en sang ne lui pose pas de problème. A vrai dire, il est rare de la voir pleurnicher, à la limite soupirer et pousser sa palette de grimaces, mais se plaindre ? Non jamais !

Ou comment une petite fille gâtée va devenir la jeune adulte indépendante et quitter son cocon familial pour rentrer dans la vie active. Ce n'est pas via une crise d'adolescence virulente et le résultat d'une fugue, non mais plutôt par choix et la crise aidant une nécessité. Une crise financière dont n'était pas spécialement touché les Lulinoos mais un terrible accident frappa de plein fouet la famille proche de Cano. En effet, sa tante, la sœur de Farrah perdit son mari lors d'un virulent incendie à la scierie. Incapable de subvenir à ses besoins, et surtout à ceux de ses filles, des triplés en bas-âge, les parents de Cano l'ont recueilli elle et sa tripotée de filles dans la maison familiale. Le confort de la maison c'est vite transformé en véritable camp de survie. Assez grande pour trois, sept à la maison devenait rapidement invivable, sans parler des frais supplémentaires engendré par ses nouvelles bouches à nourrir. Cette année-là, pour la première fois et sans rien dire à personne, Cano pris un Tessera pour la première fois. Réaction mitigée de ses parents, mais devant le fait accomplis, ils se résignèrent à voir leur fille grandir en maturité.

Quelques mois plus tard, à la suite d'un hiver rugueux, Cano annonça avoir trouvé une petite maison abordable et les moyens d'y subvenir. Cela signifiait la prise d'un nouveau Tessera mais également, de mettre de côté sa scolarité, au grand dam de ses instituteur de parent mais au fond d'eux, ils savaient depuis un petit temps que Cano n'était pas faite pour les études. Laissant sa chambre à sa tante et aux triplées, l'adolescente, tout juste 17ans partie son plan en tête. Travailler et prendre sa vie en main. Facile à dire sur le moment, combien de jeune partent de la maison pleins d'espoirs pour déchanter aussi vite et revenir la queue entre les jambes. Heureusement l'éternelle optimiste qu'elle est pouvait compter sur l'autre branche de sa famille, son oncle Samuel Lulinoos et à l'opportunité de voir une petite annonce dans le journal du district. La taverne du Thé dansant cherche une serveuse, la chance de ne pas finir dans une des usines du coin ou de se les geler dehors. Ni une, ni deux, à peine présenté, Cano fut engagée dans l'établissement qui n'avait de dansant que son nom. A elle donc, au bout de quelques semaines, à redonner la dynamique chaleureuse et joviale qui fut la renommée du lieu avant la crise.

Et en cela, la jeune fille réussit sur toute la ligne. Apportant à la taverne sa fraicheur et son innocence, elle en devient rapidement la mascotte du quartier et, après ses premières paies et une petite avance de son Oncle, Cano pu s'acheter sa première guitare et exercée ses talents de musicienne et de chanteuse, redonnant au Thé dansant toute la signification de son nom. Autodidacte et douée, Cano anime les rudes soirées de sa voix et de ses airs, tout en restant avenante et communicative avec les clients transmettant sa joie et sa simplicité à tous.

Et ce n'est pas des problèmes domestiques dû aux nombreuses fuites, aux pannes d’électricité et à la mauvaise isolation des murs que les problèmes font références. A vrai dire, Cano passe bien plus de temps à la taverne que chez elle, du coup les inondations intempestives sont prises comme un problème mineur pour la jeune fille. Ni même le fait qu'une jeune fille seule et plutôt agréable à regarder n'attire les convoitises de personnes plutôt louche comme ce Rufus Geistlig et ses potes. Un simple négociant sous ses faux airs mais tout le monde sait qu'il trempe dans toutes les affaires louches du quartier. Racket, drogue, contrebande et prostitution, les rumeurs vont de bon train, des filles viennent même aborder les clients de la taverne dans le but de passer du bon temps rémunérés à l’abri des regards. L'oncle Sam ne dit rien, préférant éviter les embrouilles et laissant les filles travailler pour s'en sortir mais Cano n'en pense pas moins et s'est souvent pris la tête avec les hommes de Rufus, il faut dire qu'ils ont eu le bon ton d'essayer de la recruter et depuis, les menaces creusent pleuvent des deux côtés.

Mais encore là, ce n'est pas le problème le plus important à régler ! Non, l'ennemi public numéro un, le Némésis de Cano et le grand méchant loup bouffeur de lapin en chef s'appelait Gartz Belfort. Pacificateur fraichement arrivée dans le district Sept suite aux tragiques attentats ayant secoués Panem lors de la fête du Printemps. Les émeutes étant particulièrement vives dans la région, un nouveau contingent de force de l'ordre fut dépêché, bien plus agressif et punitif que l'ancienne garde. Les temps en furent bien plus durs encore. Gartz, en particulier était le genre de type ingérable qui au bénéfice d'un uniforme blanc, s’adonnait à tous les abus. Alcoolique notoire, pervers sadique et brute épaisse, le soldat est devenue une véritable plaie dans la vie du district et particulièrement du thé dansant ou il aimait finir ses journées. Et que se passe-t-il quand un tel individu croise la route de Cano, justicière des causes perdues et forte tête notoire ? Des étincelles, c'est à lui qu'elle doit ses premiers coups de fouets sur la place pour avoir répliquer d'une baffe bien placée une tentative de pelotage en bonne et dû forme. Entre les deux, l'escalade allait vite dégénérer.

Cela aurait pu en rester là si mon inimitée avec Gartz n'était pas parvenue aux oreilles de Rufus Geistlig. Soucieux de se venger de l'effronterie de Cano et de leur conflit incessant. Comment ? Une rumeur parvenant aux oreilles de Gartz, la jeune Lulinoos est une rebelle en devenir et est bien décidée à saboter avec des complices la livraison du bois destinée au Capitole prévue le lendemain. Un tissu de mensonges ni plus ni moins et de témoins imaginaires ayant vu une jeune fille me ressemblant comme deux gouttes d'eaux sur les lieux entrain de placer des explosifs. Évidemment, ces explosifs furent cachés chez elle alors que Cano s'affairait à la taverne. A peine rentrée chez elle et au vue de la rapidité avec laquelle les pacificateurs sont arrivés sur les lieux, tout laisse à croire au coup monté. Cano n'a pas la bêtise de protester en voyant le sourire sadique de Gartz venu l'arrêter. Ses subalternes furent chargés de ramener les preuves alors qu'un jeunot reçu comme consigne d'empêcher quiconque d'entrer dans la maison. Gartz avait bu, énormément bu...

Et au fur et à mesure qu'il se rapprochait, Cano su que sa vie était à un nouveau tournant. Ce porc n'était pas venu dans l'idée de simplement l’arrêter en vue d'un nouveau lynchage publique voir d'une exécution au vue de la gravité des faits de cette mascarade. Non, le regard lubrique de ce pervers démontrait bien qu'il souhaitait profiter de son corps, confirmation faite quand cet enfoiré c'est jeter sur Cano. Il puait l'alcool et la sueur, son poids écrasant littéralement la jeune femme alors qu'elle se débattait. Il eut beau promettre que si elle se laissait faire, il fermerait les yeux sur la soi-disant trahison mais Cano n'est pas ce genre de fille là et répliqua désespérément. Son ongle s'enfonçant dans l’œil du pacificateur, il pouvait aller se faire foutre ! Par réflexe, le soldat l'envoya valdinguer de l'autre côté de la pièce, la furie percutant violemment le mur, le voyant sortir son arme juste avant de chanceler et d'entendre la détonation avant de sombrer dans l'inconscience.

Quelques minutes plus tard, Cano reprenait ses esprits, vivante de plus et sur le coup, c'est surprenant, tout comme de voir sa plaie au visage suite à la rencontre violente de son crâne contre le mur soignée dans un bandage. Mieux encore, c'est le corps inerte de Gartz qui la fit revenir sur Terre. L'incompréhension régna un instant, le regard hagard se demandant bien comment l'homme tenant le fusil s'est trompé de cible au point de se tirer dessus. Il était bien amoché l’œil, certes, mais tout de même, physiquement parlant c'est impossible même pour un aveugle de rater sa cible de si près. La situation échappait quelque peu à Cano et la réponse fut bien plus surprenante encore un jeune homme en tenue de pacificateur la tira de son hébétude en lui demandant si elle allait bien. La réaction de Cano fut aussi logique qu'idiote, se jetant sur son ceinturon pour se saisir de son arme, hésitant à tirer alors qu'il levait calmement les mains. Plus vieux, assez mignon et calme au vue de la situation, il expliqua clairement les faits. Ce pacificateur m'a sauvé la vie en trucidant Gartz avant que celui-ci n’appuie sur la gâchette. De plus il propose bien gentiment de lui mettre un bon pain dans la gueule histoire que ses potes le retrouve inconscient et qu'il brode une histoire que des rebelles les ont attaqué et qu'ils ont tué Gartz en prenant la fuite, Cano n'a aucun remord à indiquer le nom de Rufus Geistlig et de ses comparses histoire de se débarrasser d'un autre problème. Seulement une question lui taraudait tout de même l'esprit, le pourquoi ? Pourquoi un pacificateur prenait son partie quitte à descendre son supérieur ? Le jeune homme se présente sous le nom de Wadey est jeune mais idéaliste, cela faisait un moment qu'il ne supportait plus les excès de son supérieur et le voyant sur le point de s'en prendre à une innocente, il ne put laisser faire cela sans réagir. Il s'est engager pour faire régner l'ordre et défendre les valeurs du Capitole, pas pour assister aux bavures de ses supérieurs, s'excusant presque du comportement de Gartz auprès de Cano. Gartz, justement, gisant au sol certes, mais pas suffisamment mort que pour fébrilement diriger son arme vers Wadey, l'insultant au passage de traitre. Une nouvelle détonation est cette fois des bouts de cervelles se répandent dans la pièce. Une dernière fois, Gartz fut trop lent et c'est Cano qui pressa la détente la première. Elle l'a tué cet enfoiré. Wadey souffle, il n'est pas passé loin de rencontrer la faucheuse à son tour. Du coup, la jeune fille s'excuse presque en lui tirant dans la jambe, un tir non mortel mais qui devrait rendre plus crédible son mensonge pour la sauver, si bien sûr il lui pardonne ce petit imprévue...

Depuis cette terrible nuit, Cano a changé, en mieux. Essayant de s'attirer le moins de problèmes possible auprès des pacificateurs le temps que l'affaire se tasse, le mensonge de Wadey l'ayant mis hors de cause et il partage le secret de la mort de Gartz avec. Elle lui a bien envoyé des fleurs avec un petit mot d'excuse lors de son séjour à l’hôpital mais ne se sont plus adressé la parole depuis lors. Un pacificateur idéaliste et une serveuse/chanteuse un brin trop impulsive, tous les sépare et pourtant, quelque chose les unis maintenant. Les regards quand Cano le croise sont fuyant, n'osant l'aborder pourtant l'ado ne peux s’empêcher de l'observer en coin de l’œil. Elle lui sourit et parfois l'évite, cette relation devenant ambiguë. Est-ce de la reconnaissance pour lui avoir sauvé la vie ou pire, est-ce que Cano tomberais amoureuse d'un pacificateur...

Cela restera une question en suspens ! Car la situation jusqu'à maintenant n'a plus évolué, Cano reprenant sa vie là ou elle était restée, petite justicière des causes perdues, chanteuse en devenir et serveuse la plus sympathique du Thé dansant. Cano reste surtout une rêveuse prenant la vie du bon côté mais si à l'avenir, il faut de nouveau se salir les mains pour une juste cause, elle n'hésitera pas ! Et au pire, elle a un pacificateur en poche maintenant !

la suite c'est maintenant ! A bientôt pour de futur Rp !
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