PRENOM(S) ϟ Marian ; NOM ϟ Hasting par mes parents adoptifs. ; DATE DE NAISSANCE & AGE ϟ Il est indiqué sur mon acte de naissance que je suis née le 24 janvier et aujourd'hui, j'ai dix-neuf ans. ; DISTRICT ϟ Un. ; METIER ϟ Touche un peu à tout dans le métier de styliste, mais souvent elle coud certains vêtements. ; SITUATION CIVILE ϟ Une louve solitaire. ; ALLEGEANCE ϟ pro-rébellion ? Ils abusent tout simplement de leur pouvoir, des animaux, voilà ce que nous sommes pour eux. Que nous soyons de taille ou non, ce n'est pas l'important, mais d'y participer et de soutenir cette cause. ; GROUPE ϟ SACRIFIED LAMBS ; CREDIT ϟ Première bannière provient de tumblr ( delacourting), l'icon est du site LJ (lakecastle), deuxième bannière (psychadeliachild)

QUE PENSEZ-VOUS DU CAPITOLE ?
Malgré qu'elle a vécu là-bas, son avis reste plus ou moins négatif. On y trouve toutes sortes de personnes, souvent le même type de personne. Elle ne peut pas supporter la plupart d'entre eux, mais quoi qu'il en soit, elle est pour la rébellion et n'hésitera pas en faire partie de cela.
QUEL EST VOTRE AVIS SUR LES JEUX ?
Des jeux dangereux, il n'y a pas grand avis à dire. Ces jeux résument violence et sang plus particulièrement, la mort. Il y a beaucoup de jeunes qui sont morts pendant la moisson, durant ces jeux si violents, ses bains de sang et les vies enlever si facilement pour la plupart. La plupart sacrifie leur vie à s'entrainer, mais en vain. Elle croit que dès qu'on rentre dans l'arène, il n'y a qu'une chose qui compte, s'en sortir vivant. Marian mentirait probablement si elle disait qu'elle n'a pas peur ou qu'elle n'est pas nerveuse à l'idée d'y laisser sa vie, mais cette peur est enfouie au plus profond de son être vivant.
QUE PENSEZ-VOUS DE LA MORT D'ARABELLA EVERGLADE ET DE SON MARI ?
Des parents qui ont abandonné leur enfant ou alors, qui se sont tout simplement sacrifiés par amour? En entendre parler, on pourrait croire les deux. Un orphelin maintenant. Elle sait ce que s'est d'être ainsi, bien que la situation était assez différente, il faut dire. Quoi qu'il en soit, elle croit que ces deux-là savaient dans quoi ils embarquaient et malheureusement pour eux, leurs vies se sont achevées assez tôt, quoi que l'espérance de vie est assez courte ici. Et tout le monde sait qu'il y a souvent peu de chances de survivre aux jeux.
QU'AURAIS REPRESENTE OU REPRESENTERAIS POUR VOUS DE PARTICIPER AUX JEUX ?
Possiblement la liberté, pourquoi, tout simplement que cela est un autre monde, un monde dont elle a envie de gouter, mais oui, la plupart pourraient la traiter de folle, car on n'a que peu de chances de s'en sortir vivant, mais cela fait partie du jeu et puis tôt ou tard, on y passe probablement tous. Alors, mettre les pieds dans l'arène c'est tout simplement se dire " allons-y qu'on en finisse. ''.
QUELS SERAIENT OU A ETE OU AURAIENT ETE VOS ATOUTS DANS L’ARENE ?
Marian s'est entrainé avec plusieurs objets, de plusieurs façons. Elle est plus habile dans certaine matière, comme beaucoup d'ailleurs. Prenons les flèches par exemple, l'arc ou l'arbalète. Elle prend plaisir à tirer avec cette arme et s'en tire bien. C'est quelqu'un d'assez rapide quand il faut courir et son corps est léger, ce qui peut être un avantage. Elle s'est entrainé pour combattre, pour survivre. Marian peut tirer sur sa cible sans qu'elle soit proche de la personne ou de la chose. Elle s'attend à tout, car ce n'est pas forcément un arc qu'elle aura si elle doit combattre dans l'arène, alors autant s'entrainer sur toutes les armes.
QUEL SERAIT L'OBJET PERSONNEL QUE VOUS EMPORTERIEZ DANS L’ARENE ?
Un vieux médaillon où se trouve à l'intérieur une photo de ses parents biologiques. Un objet que ses parents adoptifs n'apprécient pas vraiment, mais qu'en même temps n'y prête pas attention, comparer à Marian qui ne verra jamais ses parents. Cela l'encourage à rester en vie, à se battre pour sa survie, car après tout, ils ont presque sacrifié leur vie pour elle. Ils se sont passés de nourriture pour lui donner à manger, peu de parents le feraient probablement.
QUE PENSEZ-VOUS DE LA SPECIALISATION DE VOTRE DISTRICT, DE VOTRE NIVEAU DE VIE ?
Sa vie n'est pas à plaindre en fait, quand on voit ce que certaines personnes subissent dans les districts les plus pauvres. Ici, c'est les bijoux, la richesse, la luxure. Ce qui ne la représente pas vraiment quand on voit de quoi ses parents se nourrissent. Elle vit dans la luxure, mais elle ne s'y fait pas tant que ça, les personnes capricieuses et égocentriques lui donnent envie de vomir. Eh oui, elle ne devrait pas se plaindre, car elle a de quoi à manger dans son assiette. Pourtant, elle ne s'y habitue pas vraiment, s'y plaire non, pas pour elle. Quoi qu'il en soit, elle n'a pas le choix et au final, c'est ainsi que va la vie. Marian se concentre sur elle-même et c'est l'important après tout. Ils peuvent continuer à fabriquer des bijoux ou à ce coiffer, pendant qu'elle se prépare pour autre chose, la moisson.

Les temps sont plutôt durs de nos jours, les voleurs non identifiés courts les rues afin de voler dans les résidences et cette petite maison sur le coin de la rue n'ont pas eu de chance. Cette famille pauvre avec un nouveau-né, une fille pour être précisé que l'on prénomme déjà Marian, la dernière inscrite sur la liste pour la moisson. Elle fait déjà parler d'elle, car oui, elle n'est pas seule en tant que nouveau-née et d'autres parents ont déjà des plans pour leur enfant, tandis que ses deux parents qui viennent tout juste de se faire voler, projette déjà se faire adopter leur fille unique. Ils n'avaient déjà pas grand-chose dans le garde-manger. Les deux étaient parents, Lila et Jon Rosenberg étaient déjà malades depuis quelque temps, même à la naissance de Marian, les médecins n'étaient pas sûrs que la mère survive à l'accouchement et ils se sont mis à remercier le ciel deux fois, la première, pour cette merveilleuse petite fille et la deuxième, pour avoir rétabli Lila, bien qu'elle soit retombée malade assez vite, car comme les temps sont durs et que la nourriture ne tombe pas du ciel, Lila préférait nourrir Marian plutôt que de la laisser crever de faim. Cependant, ils se sont rapidement rendu compte que jamais, ils tiendraient le coup. Ils n'eurent aucune chance durant ce vol, tout ou presque ont été volés, la nourriture particulièrement. Les gens bien évidemment accusent les parents, afin de nourrir leur jeune dans le besoin, ceux qui n'ont pas la chance de manger dans certains districts. Ces jeunes qui s'entraînent jour et nuit, meurent souvent de faim d'ailleurs. Ils n'avaient plus aucun choix, ils devaient faire adopter cet enfant, afin qu'elle est un bon foyer, d'ailleurs, elle eut un bon foyer. La famille qui a adopté la petite fille, sont des gens aisés qui dont le père est chirurgien et la mère styliste, Rosalie et Josh Hasting. Malgré cela, Marian ce s'est jamais vraiment senti à sa place au sein de cette fameuse famille, dont n'importe quel enfant pauvre aimerait s'y retrouver afin de trouver amour, mais surtout de la nourriture ainsi que du confort. Durant son enfant, elle fut gâtée et choyé et tout ce qu'elle donnait en retour c'était un simple merci suivi d'un sourire forcé.

Rosalie et Josh n'étaient toujours pas rentré. Elle devra encore se faire à manger seule, mais elle s'y habitue à force de ne pas les voir alentour de la belle table dans la cuisine qui a été faite presque que sur mesure par les exigences de la chère Rosalie Hasting. « Encore une soirée dans le silence. » Chuchota la jeune gamine qui ouvra la porte du réfrigérateur où pleins de choix de repas s'offrent à elle. Après quelques minutes, Marian referma la porte et décide de quitter la pièce sans aucune idée de ce qu'elle mangera pour repas. Elle profite de l'absence de ses parents adoptifs pour se rendre dans leur chambre où elle trouve l'odeur répugnante chaque fois qu'elle y entre, une odeur désagréable pour le nez. Marian fit une grimace en bougeant légèrement la tête et s'approche du beau et grand bureau avec ce miroir lumineux, si propre et si délicat. Un objet dont Rosalie ne peut se passer, chaque matin, chaque midi et chaque soir, elle y passe plusieurs et longues minutes avant de sortir ou de faire quelconque activité. Alors, que la jeune enfant n'y pense que quelques secondes afin d'y replacer sa mèche de cheveux.La gamine poussa quelques papiers avant d'ouvrir le tiroir où elle trouva rapidement la clé qui nécessite à ouvrir ce tiroir, cachée dernière le miroir. « Il ne faut pas me sous-estimer. Je connais tous vos petits secrets madame et monsieur Hasting. » Marian sourit avant d'ouvrir le fameux tiroir dont ils ne veulent pas qu'elle s'approche, mais comme ils ne sont pas encore là, autant découvrir ce qui s'y cache et après tout, qu'est-ce qui pourrait bien s'y trouver d'aussi important. Ah moins que.. Non, pas ce genre d'objet. Elle se retire rapidement cette pensée et surtout le simple fait de penser à ces deux-là dans le même lit, sous les mêmes couvertures et en train de.., non, ne vaut mieux pas afin de ne pas faire de cauchemar, même si la chose est naturelle sinon, elle ne serait pas née. Quoi qu'il en soit. Elle gigote légèrement la tête avant de se mettre à fouiller, curieuse comme elle est. Elle tombe bizarrement sur un dossier de couleur blanc. Qu'est-ce que cela signifie? Marian recule de quelques pas de pieds afin de s'installer sur le bord du lit et d'ouvrir doucement le dossier sans même hésiter. Les yeux de l'enfant lit chacune des phrases que se trouve sur ses bouts de papiers pendant la durée d'une vingtaine de minutes. Elle remonte doucement la tête vers le miroir qui se trouve face à elle sans aucun son avant de prononcer qu'un seul mot, un mot qui résume le dossier. « Adopté. » Elle a l'air de bien de le prendre, mais pas tant que ça, quoiqu'en même temps, elle a toujours eu l'impression de l'être. Marian ne s'est jamais vraiment senti à sa place. Elle ne ressemble pas à Rosalie ou bien à Josh, rien que par les traits, celle-ci est blonde par exemple, mais elle s'est toujours dit qu'avec son métier, elle a dû s'offrir une nouvelle tête. Quant à Josh, ce père superficiel. Malgré tout, elle n'a jamais vraiment été plus que de légers soupçons quant à ses parents. Et maintenant, tout cela confirme qu'elle a bel et bien été adopté. Ainsi donc, ses vrais parents sont morts alors qu'elle n'avait que quelques mois à peine. Cela est si facile de faire croire que s'était c'est vraiment parent. N'importe qui aurait crié, aurait juré et aurait balancé ce dossier au mur ou au sol, mais ce n'est pas son cas. Si elle commence aujourd'hui à se préoccuper de cela, jamais elle ne sera performante dans les années suivantes pour les jeux, si un jour elle est choisie bien entendu. La vie continue, mais ne compte pas garder le secret. Marian reste tout de même choquer face à cette nouvelle ou mauvaise nouvelle plutôt. Elle remet en place le document et la clé derrière le miroir tout en remettant en place les papiers puis quitte rapidement la pièce avant de se rendre à sa chambre à elle.

La gosse récupère un sac déjà tout préparé et quitte l'endroit afin de rejoindre un ami, plus âgé avec qui elle se sent bien ou du moins, l'endroit la fait sentir bien. Un terrain d'entrainement plus ou moins secret. Ce qui est secret, c'est qu'elle s’entraîne hors des heures, hors du temps et avec quelqu'un qui a possiblement ou pas gagné les jeux, une fois dans sa vie. Marian l'a rencontré, il y a un an et depuis, elle se sent assez proche de ce jeune homme. Malgré qu'il ne soit pas toujours d'accord pour cette situation illégale, mais elle s'en fiche. « Marian? » Lança le jeune homme en se levant, voyant la mine que faisait Marian, une tête étrange possiblement, mais avec ce qu'elle a appris, il est normal qu'elle ne soit pas dans son assiette, mais assez pour se défouler sur ces équipements. Elle dépose son sac après avoir fermé la porte puis s'approche doucement de lui. « Je sais qu'il est plus ou moins tard, mais je devais sortir de chez moi. L'air devenait insoutenable. » Tout en lâchant un soupir, elle s'assoit sur un banc et il fit de même. « Tes parents encore? » - « Non, un bout de papier tout simplement. » Lança le jeune homme en se levant, voyant la mine que faisait Marian, une tête étrange possiblement, mais avec ce qu'elle a appris, il est normal qu'elle ne soit pas dans son assiette, mais assez pour se défouler sur ces équipements. L'homme regarde Marian de façon intriguée. « Que se passe-t-il? » Elle tourne légèrement la tête. « Il semblerait que j'ai été adopté presque qu'aussitôt ma naissance, enfin, je n'étais qu'un nouveau-née en fait. Ils m'ont caché cela et maintenant, je connais la vérité. » Elle le regarde par la suite avant de se lever doucement et de retirer sa veste. « Mais je ne suis pas là pour me confesser en fait. » Il lève la tête vers celle-ci en ajoutant; « Je suis désolé.. » Elle prend un arc et se met en position devant une cible. « Ne le soit pas, car après tout, ce n'est pas de ta faute. » Elle affiche un léger sourire en coin avant de tirer.

Marian garda le silence durant deux jours, car elle n'eut pas l'occasion d'en parler à Rosalie et Josh. Leur présence se fait rare ces temps-ci, mais peu importe, elle abordera le sujet quand ils seront présents. Cette fois-ci c'est le bon moment, ils arrivent justement près d'elle pendant qu'elle s'entraîne avec un poignard sur un mannequin, on dirait presque qu'il est vivant d'ailleurs. Elle continue ses quelques mouvements avant de se faire bien entendu interrompre. « C'est bien, tu t'entraines. Tu devrais essayer une autre manière de manier le poignard, non? » Lança Rosalie comme si elle savait de quoi elle parlait, alors que tout ce qui l'intéresse c'est les vêtements et la beauté. Elle roula doucement les yeux avant de continuer à sa façon tout en soufflant entre deux soupires. « Si seulement, tu savais de quoi tu parles. » - « Quoi? » - « Je disais tout simplement que j'avais été adopté. » Elle lance le couteau en plein milieu de la tête du mannequin bien entendu, attendons un peu pour les vrais meurtres et cela serait bien évidemment inutile de se mettre à tuer ses parents adoptifs, elle aurait peut-être pu trouver pire, quoi que. Marian secoue légèrement la tête en se tournant vers eux, le sourire presque aux lèvres en voyant leur visage avec ce regard qui veut tout simplement, comment elle a découvert, mais en même temps assez surpris. « Je ne vois pas de quoi tu parles, jeune fille. » - « Et bien moi oui, vois-tu, un dossier blanc qui indique que mes parents me donnaient en adoption quand je n'avais que quelques mois. Ça ne vous dit rien? » - « Changes le ton de ta voix immédiatement. » Le père se tourna légèrement en voyant qu'ils n'étaient pas seuls non plus, il y avait d'autres jeunes et peut-être même adultes. Il n'apprécia pas de se faire parler ainsi, ça se voyait rien qu'avec son simple regard. Marian ramasse doucement sa serviette et se pose sur le banc tout près d'elle. « Je changerai le ton de ma voix quand vous m'aurez avoué la vérité. C'est inutile de dire le contraire quand j'ai lu noir sur blanc la pure vérité. » Rosalie regarde son époux durant un instant avant de s'asseoir à côté de la belle Marian et puis décident de quitter la pièce rapidement afin d'aller en parler ailleurs durant un long moment.

« Alors là, c'est ridicule comme accoutrement! Recommence. » Dis la surveillante, qui veille à ce que le boulot soit rempli et bien fait. Marian sourit avec de rire discrètement, un sourire qui ravit un jeune homme pas loin d'elle, qui se met à sourire à son tour en secouant légèrement la tête. « Alors là, c'est ridicule cet accoutrement. Comme si j'étais née pour cela. » - « Oh bon Dieu, non. » Le jeune homme lui prend la main en souriant et part à courir pour aller se réfugier plus loin. « Cette vieille folle va finir par nous dévorer, c'est moi qui te le dis. » Marian rit légèrement en regardant alentour. « Possiblement, vu sa taille et son appétit. » - « Moi, c'est Adam et toi, c'est Marian, non? » Elle sourit en tendant sa main à son tour. « Depuis le temps, j'ai enfin un prénom sur ce visage. En effet, c'est bel et bien mon prénom, comment pourront-on ne pas le savoir quand on crie mon prénom. » Les deux jeunes se mettant à rire, naît une complicité, car ça ne sera pas la dernière fois qui se verra, non, car après tout, ils sont du même district et qu'ils aiment se réfugier ailleurs que devant une machine à coudre.