PRENOM(S) ϟ Orion Pallas Emerald. Il tient le prénom Emerald de son grand-père, du district un. Il déteste son premier prénom, Orion et préfère se faire appeler Pallas. ; NOM ϟ Faliva, même si il est très peu utilisé. ; DATE DE NAISSANCE & AGE ϟ il est né un 27 Mars et a actuellement 25 ans ; DISTRICT ϟ Pallas habite le Capitole ; METIER ϟ Styliste pour le district 11, il est également styliste en dehors des Hunger Games, égérie de la marque pour laquelle il créé. ; SITUATION CIVILE ϟ Célibataire ; ALLEGEANCE ϟ Pallas ne sait pas vraiment quel camp choisir. Vivant depuis toujours dans le luxe et les carnages télévisés qu'il observe tranquillement on a tendance à lui prêté une allégeance pro-capitole. Néanmoins, une partie de lui est contre ses boucheries à répétition. ; GROUPE ϟ puppet's headmaster ; CREDIT ϟ tumblr pour les gifs & battery fox

QUE PENSEZ-VOUS DU CAPITOLE ? ET DEPUIS L'ATTENTAT ? Je me demande si le Capitole ne se sert pas de nous, habitant même de celui-ci. Depuis l'attentat le gouvernement sert la vis dans les districts pour étouffer une rébellion. Je ne sais pas, j'ai l'impression qu'ils ont peur de tout Panem.
QUEL EST VOTRE AVIS SUR LES JEUX ? J'ai hâte de pouvoir m'occuper du tribut qui me sera désigné. Pour autant, je n'ai pas vraiment envie de voir cette même personne se faire décapité lors des jeux, j'aurais travaillé pour rien. Même si ils sont des pions, nous leur devon le respect. Du moins je pense.
RÉCEMMENT, LE CAPITOLE A SUBI UN ATTENTAT LORS DE LA FÊTE DU PRINTEMPS. QU'EN PENSEZ-VOUS ? C'était épouvantable ! Dans notre propre cité ! Tout cela n'a fait qu'envenimer la situation, je pense que si le Capitole à si peur des Districts Périphériques, qu'il renforce la sécurité sinon ce ne sera pas l'unique attentat ! Je pleure toujours mon costume en soie orange néanmoins, je comprends un peu cet acte fait pour faire bouger les choses, qu'ils tentent ! J'espère ne pas avoir à sacrifier un nouveau costume, pourtant.
QU'AURAIS REPRESENTE OU REPRESENTERAIS POUR VOUS DE PARTICIPER AUX JEUX ? Oh, j'aurais surement été une carrière. Mon grand-père était l'un d'eux et à gagné ses jeux ! Quelle performance ! Une magnifique arène et une victoire facile, on donnait déjà l'homme favori dès l'entrée des tributs au défilé ! J’aurais aimé être comme ça, mais ma place au capitole m'est plus salutaire.
QUELS SERAIENT OU A ETE OU AURAIENT ETE VOS ATOUTS DANS L’ARENE ? Peut-être en me cachant, ou en faisant fonctionner mon cerveau. Je suis habile dans l'art de faire tourner la tête aux gens, peut-être aurais-je gagné la sympathie des autres, avant de les tuer.
QUEL SERAIT L'OBJET PERSONNEL QUE VOUS EMPORTERIEZ DANS L’ARENE ? J'aurais ramené mon crayon auto-chargeable je suppose, même si il n'aurait servit à rien dans l'arène.
QUE PENSEZ-VOUS DE LA SPECIALISATION DE VOTRE DISTRICT, DE VOTRE NIVEAU DE VIE ? Le Capitole est luxueux à outrance, beau, grand. Nous ne manquons de rien, vivons dans notre propre univers avec notre propre vision du monde. On est fait pour être superficiel, tout est transparence au Capitole. La futilité et l'amusement est notre raison de vivre, si nous en avons une.

On le voit toujours avec son crayon auto-rechargeable, le front plissé par l’effort de concentration. Il fait venir son papier du district sept comme tout le monde, mais celui-ci est d’excellente qualité, pas ce que l'on peut trouver ailleurs. Souple et résistant aux nombreuses couches de peinture recouvrant ses croquis, coups de crayons et pigments, le grammage est étudié au milligramme près. A l’heure où tout le monde utilise le numérique Pallas s’arme toujours de papier et de mine de graphite, esquissant sans aucune idée précise la tenue que tout le monde voudra porter dans un mois. Il sait ce que le capitole veut, ce que le capitole aime car il est le capitole, il est la foule totalement hystérique à l’idée des prochains jeux de la faim. Il ne porte jamais deux fois les mêmes vêtements, comme beaucoup. Tout ce qu’il porte est conçu par ses soins et les motifs ornant les créations destinées à son propre usage sont bordés uniquement par lui. Totalement hors des modes capitoliennes, c’est un extraterrestre des shows, un ovni, gourou qui reste le plus souvent à moitié dénudé, les tatouages ornant sa peau, permanents, jouant sur lui le rôle de parure à part entière. Il pourrait faire porter des méduses sur la têtes des habitants si l’envie lui disait, a instoré un temps la mode des tatouages extrêmes, veillant pourtant a rester l'unique squelette du Capitole. On lui reconnait un certain charisme, il est même qualifié de drôle voir de charmant malgré son allure qui, même au sein de l’exubérance même reste tout à fait étrange et mal vue par beaucoup. Hors des limites, hors du pouvoir, il a de plus en plus souvent le sentiment d’être dominé par le Capitole et se refuse d’être un simple pion sur l'échiquier au même titre que les tributs qu’il devra habiller cette année lors de la soixante-seizième édition des hunger games.

Raconter son histoire est peut-être banal. Né au Capitole, le sort des districts ne l’intéressait pas. Il a reçu une éducation plutôt complète, sa mère est une admiratrice de livre et en possède une soixantaine, un véritable luxe. On ne lui a jamais vraiment interdit les modifications physiques, ainsi, enfant, Pallas avait les cheveux teint d’un vert pomme criard qui tranchant avec les murs ris pâle du salon de famille. Fils unique, on lui accordait tous les privilèges et tout ce dont il rêvait. Il adorait regarder les jeux, mais en grandissant, il a fini par développer de la pitié pour ces tributs et à l’âge de l’adolescence, il en a même été quelques peu dégoûté lorsqu’une année, sa favorite qu’il espérait sortir victorieuse se fit éventrer sous les yeux des caméras au bon de quelques jours durant lesquels, il s’était quelques peu éprit de la victime du pouvoir. A vingt ans il a décidé de se faire recouvrir la peau de ce schéma vivant du corps humain, la machine extrême selon lui, l’art à l’état pur. Les modifications corporelles sont pour lui un art, comme le dessin, ou le maniement des armes. Son truc à lui, c'est le lancé de couteau. Plus jeune, il adorait imiter les tributs et est doté d'un excellente vision. Si il aurait pu devenir tatoueur, il s’est plutôt converti dans une voie plus luxueuse, plus extravagante encore, le stylisme. Devenu égérie de la marque pour laquelle il conçoit la plupart de ses modèles, Pallas est connu pour être l’homme zombifié et à souvent de droit aux blagues à propos des mutants parfois créés dans les arènes, comme quoi le Capitole les laisse s’évader. Il aime s’amuser, voyager. Si la possibilité de voyager dans les districts lointains lui était possible il le ferait. Le capitole semble trop petit à son gout, il a tendance à se retrouver trop confiné dans cet espace vaste, mais restreint tout de même par les pacificateurs et le gouvernement. Ils ne sont pas libre, pas plus que les autres. Comme à chaque fois que quelques choses ne va pas, il panique et oubli tout sens de la réalité. Il lui arrive d'oublier ce qu'il dit et de s'énervé, voir d'être violent. Ses crises de panique sont censées se dissiper grâce à l’inhalation du parfum d’une fleur uniquement trouvable dans le district neuf. Étrangement, depuis son enfance elle n’a jamais eu aucun effet sur sa santé et la panique le quitte rarement.

Il sursaute, laissant parfois croire qu'il cache quelques choses de louche parmi ses croquis. Il souffre de quelques spams dû à une consommation régulière de drogue. Souvent croisées au cours des fêtes du Capitole, il en a fait sa principale source d'inspiration et en consomme en dehors de ces fêtes pompeuses. Il adore manger, peut-être un peu trop mais au Capitole, il est bien normal de gâcher de la nourriture qui ne reste dans l'estomac finalement que quelques heures. Il adore les desserts à base de glace ou de gâteau au chocolat. Il a toujours vécu comme un gosse, n'a finalement jamais vraiment grandit. La maturité n'est pas quelques choses qu'il lui est familier. Il a tendance à être sarcastique, manipulateur. Un leader dans l'âme, aimé ou détesté, il s'en moque. La provocation est sa marque de fabrique prédominante, ne rien faire comme les autres, encore et toujours dans le but de rester unique. être comme tout le monde l’effraie

Cette année il s'est décidé à postulé pour devenir styliste lors des hunger games, histoire de profiter un peu plus des fêtes, des gens, de la célébrité. Il n'aspirait pas à travailler avec et pour des carrières, un district plutôt simple lui aurait convenu. On lui attribua le district numéro onze, pas le dernier, mais presque. Il espère pouvoir rendre le onze le district le plus remarqué et remarquable de cette édition, pour sa gloire comme pour la leur.