» 25th hunger games
Lors de la Première Expiation, vingt-cinq ans après les premiers jeux, ce fut aux Citoyens des Districts de voter pour désigner les Tributs qui participeraient aux Jeux. L'Arène était un volcan, les éruptions survenaient aléatoirement et il fallait grimper sur une sorte de montagne au milieu de l'Arène pour survivre, les Tributs se rencontraient donc souvent et les bains de sang étaient réguliers. Le Tribut qui triompha perdit une jambe, entamée par la lave elle ne pu être sauvée.
» 28th hunger games
(FICHE EN COURS) L'arène de la vingt-huitième édition des Hunger Games était une immense forêt dans laquelle on se perdait au moindre détour. Les arbres étaient plus immenses les uns que les autres et cachaient toutes lumières du jour. Il faisait presque aussi nuit le jour que la nuit. De nombreuses mauvaises surprises attendaient les tributs: des gaz hallucinogènes, des mutations génétiques, des chauves souris meurtrières et bien d'autres choses comme des murs de feu obligeant es tributs à se regrouper en un endroit et donc à s'entretuer. L'eau était très rare et la nourriture, le plus souvent immangeable et contaminée. Seuls les plus réfléchis ont survécut à tous ces pièges sur la nourriture. Enfin, autre particularité de cette arène, a proximité du seul point d'eau se trouvait des marécages mais également des sables mouvements qui ont fait de nombreuses victimes, piégées.
» 38th hunger games
L'Arène l'année où le Grand Juge Hutchintson a triomphé, n'était qu'une vaste pleine désertique où un soleil de plomb assommait les candidats. Pas un point d'ombre sur 10 kilomètres autour de la Corne d'Abondance. Les deux premiers jours ont été meurtriers avant que les candidats ne s'enfoncent dans l'Arène, une luxuriante forêt tropicale se trouvant au delà. Remplie de pièges mortels. L'Arène possédait un unique plan d'eau. C'est lors de cette édition que les Serpent Tueurs ont été introduits, leur venin n'était pas mortel mais provoquait des hallucinations si puissantes que certains Tributs se sont suicidés pour y échapper.
» 48th hunger games
C'était une immense jungle entourée d'une plage et de la mer par la suite. La Corne d'Abondance était située sur la plage et à la gauche de la jungle se trouvait une grande rivière avec une île au centre. Le Capitole avait introduit plusieurs mutations génétiques dans l'arène. Il faisait très chaud le jour et assez froid la nuit. Le sable fin de la plage et de l'île ne prenait pas de temps à se refroidir. Dans la jungle les arbres étaient gigantesques, solides et verts de lichens. Des lianes pendaient ici et là et de grosses racines sortaient du sol.
» 50th hunger games
Lors de la 50ème édition des Jeux de la Faim, le nombre de Tribut fut doublé, chaque District devait fournir quatre Tributs en lieu et place des deux habituels. Quarante huit candidats se sont affrontés dans l'Arène, une édition deux fois plus sanglante qu'à l'accoutumée. L'Arène n'était qu'un immense bois qui se terminait par un champ de force, celui qui triompha de ce jeu sanglant se servit de ce champ de force pour vaincre, il propulsa son arme contre le bouclier et tandis qu'il recevait un coup de couteau qui aurait du être mortel, son agresseur eut le crâne fendu par la hache qui était "revenue" automatiquement.
» 55th hunger games
L'année des 55ème Hunger Games a été une année glaciale, l'hiver a perduré longtemps sur Panem, ce qui a inspiré les Juges. L'Arène a été transformée en Steppe glacée. Les pièges étaient redoutables, l'activité sismique d'un volcan sur lequel "trônait" la corne d'abondance, a provoqué de nombreuses morts, les Tributs ayant été littéralement "engloutis" par la lave, les crevasses.
» 61th hunger games
Une arène monstrueuse, c'est sans doute pour moi la pire. Humide n'est qu'un euphémisme. La nourriture était vraiment rare. La forêt était gigantesque. Le pire, c'était la mer, elle était constamment glacée ou brûlante, durant une seule heure de la journée, cette mer devenait douce et agréable. Des bêtes étranges et dangereuses vivait loin dans les bois, mais c'était les seules repas de l’arène. A moins de trouver des plantes comestibles.
» 62th hunger games
L'arène marécageuse aux dangers tout d'abord sous-estimés accueillit l'homme rusé et discret du District 3. Il y avait de quoi s'y perdre avec toute cette eau et tout ce que la couche de saleté la recouvrant y cachait. En plus de cette impression de frayeur s'échappant des confins de l'arène et des nuages de fumée toxique s'y élevant, poignait dans l'air une odeur insoutenable faisant instinctivement se boucher le nez des élus devant s'y déchirer. Afin d'atteindre les deux seuls puits d'eau potable disséminés dans toute l'arène, une à l'Est, l'autre à l'Ouest, autant dire qu'il fallait mieux compter dans ses rangs une personne capable de dresser sur pied un quelconque moyen de locomotion afin de survivre à ce véritable tombeau marécageux. Les zones toxiques, les alliances de mise pour s'en sortir, la frayeur des alligators génétiquement modifiés et non-comestible, autant dire que la partie fut rude.
» 63th hunger games
L'année où Owen a triomphé des Jeux pour la première fois fut placée sous le signe des "opposés", rien n'était comme il aurait du l'être dans l'Arène, l'eau des rivières étaient toxiques tandis que la sève des arbres étanchait votre soif. Ce qui devait être solide se révélait friable etc.
» 64th hunger games
Elle était à priori tout ce que Nale pouvait craindre. Un grand désert sans fin. C'est de là que les tributs partirent, la Corne d'Abondance était en plein milieu. Du sable, à perte de vue, avec de temps à autres de la verdure, quelques arbres épais en guise de répit, de cachette, de perchoir. Les chanceux pouvaient tomber sur des grottes qui leur promettait une sécurité, mais de courte durée. Toutes les douze heures, le sable bougeait et vous faisait perdre le peu de repères que vous aviez. Les tempêtes n'étaient pas rares non plus, quoique moins régulières. Et si ça n'était pas ça, de la pluie s'abattait à l'endroit où vous vous cachiez depuis trop longtemps aux yeux des Juges pour provoquer des sables mouvants et autres pièges vous poussant à vous rapprocher de vos ennemis. Par ailleurs, si vous tombiez sur la mauvaise grotte, des mutations génétiques croisant des crabes géants et des scorpions ne vous laissaient pas le temps de vous enfuir. Cependant, tout autour du désert se trouvait une large rivière. L'idéal pour Nale, comparé à l'étendue de sable. Il suffisait simplement de la trouver.
» 65th hunger games
Arabella a connu une édition "marine" des Jeux qui l'a placée favorite face à ses autres concurrents. Les candidats ont souffert de déshydratation avant de comprendre que la solution se trouvait dans les arbres. De nombreuses pluies acides ont entamé leurs chairs et leur moral. Une partie des escarmouches s'est déroulée en Mer, l’îlot de terre étant excessivement dangereux : pluie acide, guêpes tueuses, poisson à la piqûre mortelle etc.
» 66th hunger games
(SCÉNARIO) L'arène était semblable à une grande savane africaine. Des herbes hautes, quelques arbres et beaucoup d'animaux sauvages. La journée, la chaleur pouvait monter jusqu'à des températures extrêmes et les nuits étaient glaciales en comparaison. Très peu de points d'eau potables étaient à disposition et la plupart d'entre eux étaient infectés de microbes qui donnèrent à des nombreux tributs des maladies handicapantes. Les tributs n'étaient pas les seuls chasseurs, il y avait des animaux comparables à des gros chats qui une fois la nuit venue prenaient les tributs en chasse. La corne d'abondance quand à elle, siégeait au beau milieu d'un champ d'herbes jaunies. On l’apercevait de loin, le soleil se reflétant sur elle.
» 67th hunger games
L’arène des 67e jeux était une île peu hospitalière. En bordure des terres, les côtes dénuées de plages la rendaient similaire à un vaste rocher suspendu au-dessus de l’eau. Elle ne comptait en réalité qu’un bord de mer pleinement accessible, stratégiquement situé dans une zone où la nature, bien que plus rare et clairsemée qu’ailleurs, peu attrayante à première vue, recelait les seuls fruits et végétaux comestibles de l’île. Plus loin, la verdure s’épaississait à foison, mais devenait le repère de plantes carnivores, de pièges, et d’une faune hostile. Elle débouchait, après de longues heures de marche, sur des falaises abruptes qui étaient l’unique accès aux derniers échappatoires des participants : ceux qui avaient le courage de se jeter à l’eau et de lutter contre les vagues et le courant pouvaient s’adonner à la pêche, puis tenter d’escalader la pierre pour revenir à leur point de départ. Les plus ambitieux, cependant, pouvaient rejoindre à la nage l’une des trois épaves de bateaux échoués à une dizaine de mètres environ de l’île. Un seul d’entre eux constituait un potentiel refuge : coincé entre des rochers, les vestiges du navire pouvaient recueillir quelques rescapés. Les deux autres n’étaient visibles qu’aux morceaux de bois flottant qui bravaient les flots au-dessus de leur emplacement; eux cachaient dans leur coque éventrée quelques malles renfermant des aliments parfois gorgés d’eau ou des armes au tranchant émoussé.
» 68th hunger games
C’était une arène tout à fait conventionnelle. La Corne d’Abondance se trouvait en plein centre d’une immense vallée qui s’étendait à perte de vue. Les plaques métalliques étaient surélevées, les tributs les moins entraînés déboulèrent ridiculement de la leur lorsqu’ils tentèrent de bouger. Une immense forêt couvrait l’ouest et le nord de l’arène, des marécages et des collines traîtresses remplies de bêtes sauvages se chargeant du reste. Elle contenait beaucoup de rivières et de ruisseaux, mais les tributs comprirent rapidement que cette abondance d’eau avait un prix : aucune cueillette possible, aucun gibier, aucune nourriture. Certains moururent de faim, d’autres s’empoisonnèrent bêtement.
» 69th hunger games
L’arène était une grande vallée caillouteuse. Au centre se trouvait la corne d’abondance, elle brillait en continu de telle manière que même au plus profond de l’arène les tributs puissent toujours l’apercevoir. Au sud se trouvait une grande rivière, le courant était bien trop fort pour la traverser ce qui fit rebrousser chemin à beaucoup de tributs. Au nord une vaste plaine herbeuse et quelques arbres parsemés par ci par là. A l’est se trouvait la grande forêt de pins habitait par d’innombrables animaux et de nombreux tributs trouvèrent à l’intérieur de ces bois un refuge provisoire. Et à l’Ouest se trouvait des marais, personne n’osait s’y aventurer, une odeur de mort s’en échappait. L’arène n’avait rien de bien diabolique, si bien que le Capitole y introduisit chaque nuit quelques mutations génétiques. Des ours riant de la même voix que vos proches. Des guêpes tueuses cachées dans les grands pins. Des poissons carnivores dans la rivière. Tout était bon pour faire bouger les tributs, pour faire couler le sang.
» 70th hunger games
La 70ème édition fut de loin l'une des plus sanglantes. La corne d'abondance se trouvait sur un terrain vague bien trop loin de la forêt qui l'entourait, cela a donc obligé les tributs à s'entre-tuer pendant près de 21 heures de suite. Il n'en restait plus que 7 lorsque les Juges ont soudainement plongé l'arène dans le noir le plus total. A partir de cet instant, il s'agissait alors de rester le plus furtif possible, les tributs ayant des lunettes de nuit dans les packs qu'ils avaient pu récupérer dans la Corne d'Abondance étant les plus avantagés. Ils en ont d'ailleurs profité pour s'éloigner le plus possible du lieu de massacre avant qu'un décompte de 60 minutes ne se soit écoulé. Cette édition est sans doute celle qui a laissé les spectateurs les plus perplexes.
» 71th hunger games
Imaginez une clairière. Immense. Ou du moins suffisamment grande pour que le bain de sang s’établisse dès que le décompte eut atteint zéro. Une chaleur de plomb, une ambiance lourde de jungle tropicale, mais ce n’est pas une jungle. C’est une forêt. Avec ses prédateurs, ses recoins et ses précipices masqués par les fougères. Les petits insectes qui vous piquent et que vous ignorez, et qui vous tuent quelques secondes après. La moiteur implacable, les rugissements des ours qui chassent aussi bien que vous, voire mieux. Les rochers glissant, et d’un coup, la pleine lumière : vous revoilà dans la clairière où le cauchemar a commencé. Nul recoin pour se mettre à couvert, sauf les herbes, de plus en plus grande, dans lesquels fourmillent des serpents et des fourmis justement. Pas de plant d’eau autre que celui qui jaillit d’une unique source. La source de nourriture ? Elle est capable de vous tuer.
» 72th hunger games
L'arène de cette édition a pris place dans un grand canyon. Aucun endroit où se réfugier si ce n'était les grottes et autres cavités de roches rouges. Quelques cours d'eau parsemaient ce paysage chaotique, où le seul moyen de se nourrir était d'avoir eu le temps de prendre les packs à la Corne d'Abondance, ou de savoir chasser - puisque le Canyon regorgeait d'oiseaux divers, de pumas, lynx et coyotes. Le gagnant de l'édition a été un habitant du district 12 sans surprise, puisque l'arène l'a placée favori du fait des innombrables mines et carrières souterraines. En effet, avancer à découvert dans le Canyon était beaucoup trop dangereux, la moitié des tributs ayant alors entrepris un voyage interminable et dangereux à l'intérieur des mines. Certains tentaient de chasser la nourriture la nuit tombée à l'extérieur, alors que d'autres n'ont fait que s'enfoncer davantage dans les carrières.
» 73th hunger games
L'année où Rosalina a triomphé des jeux, l'Arène était un immense champ de ruines noyé dans la forêt environnante. Il y avait très peu de zones "déboisée" rendant les combats ardus. Les haut pins parasols ont servi de refuge à la jeune femme. Cette année là, la pierre était à l'honneur : ruine ancienne, temple abandonné, et des montagnes de pierres à couper le souffle.
» 74th hunger games
La 74ème édition s’est déroulée dans un cadre assez banal. Une lande quelconque entourée d’une forêt de feuillus, chênes et hêtres. La particularité de cette arène était les vestiges et monuments des Jours Sombres, semblables à un ancien site celtique, qui étaient disséminés régulièrement dans la forêt et autour de la Corne d’Abondance. Certains commentateurs des Jeux comparaient d’ailleurs l’arène à la légende de la forêt de Brocéliande. Supposition qui s’est avérée véridique lorsque quelques symboles celtes gravés sur certains menhirs et tombeaux, indiquaient en réalité la marche à suivre afin de trouver des points d’eau et autres lieux où la nourriture était abondante.
» 75th hunger games
L'arène pour la 75ème édition des Jeux de la Faim était un immense sablier qui selon le temps écoulé se remplissait de sable, un sable qui au contact de la peau offrait aux Tributs d'affreuses visions. L'Arène était une sorte de grande tour, différents niveaux séparaient les joueurs des sommets, plus le temps passait plus les niveaux du bas se remplissaient de sable, forçant les joueurs à grimper.