PRENOM(S) ϟ Il y a maintenant dix-neuf ans qu’on ma donné deux prénoms. Deux prénoms qui ne se ressemblent pas, qui ne sont pas connu dan ce monde. Une chose est sûre personne ne s’appelle comme moi. Je suis la seule et l’unique à posséder les prénoms comme Riley et Swann. ; NOM ϟ Dans ce district il n’est pas à dur de savoir qui je suis. En effet il est rare de voir une petite blonde assez coquette avec une grande gueule. Je suis une Wildworth et je l’assume complètement, je suis comme ma mère et mon père en même temps c’est normal j’ai leurs gênes en moi (a). ; DATE DE NAISSANCE & AGE ϟ La date n’est pas très précise, mais une chose est sûre c’est que je suis née un jour de beau soleil. Les oiseaux chantaient et c’était le vingt-trois février. La température était bien haute pour ce mois, je me rappelle qu’il y avait beaucoup de monde autour de moi. J’ai donc maintenant dix-neuf ans et toutes mes dents (a). ;DISTRICT ϟ Je me trouve dans le district numéro sept, ce n’est peut-être pas le meilleur… Mais au moins il y a beaucoup d’entraide entre les différentes familles. A force des liens se forment et je commence à m’y faire de travailler la journée et de trouver de la nourriture pour ma petite famille; METIER ϟ Vu que je suis âgé de dix-neuf ans et que j’ai dépassé la minorité je dois travailler. D’ailleurs j’ai toujours aimé faire des dessins quand j’étais plus jeune. J’ai toujours imaginé des bâtiments ou bien des paysages que l’on pouvait recréer. Cela tombe plutôt bien il y a quelques architectes dans le coin. Ayans suivis des longues études j’ai décidé de devenir architecte et d’ailleurs un amie à ma mère ma pris comme assistante. Je suis donc bien placé et je gagne un peu plus que d’autre.; SITUATION CIVILE ϟ Je n’ai pas vraiment la tête à penser à m’accoupler avec des jeunes hommes. Je profite juste du bon temps avec eux, mais rien de plus. Non je n’ai pas envie d’être privé de liberté, j’aime être seule et m’amuser avec tout le monde. Je ne supporte pas qu’on m’empêche de m’amuser avec ceux que je veux. Donc je suis célibataire et fière de l’être. ; ALLEGEANCE ϟ Je suis plutôt pro-rébellion, même si un jour je suis choisi pour les Hunger games je le ferais car je me sens prête. Mais une chose est sûr arrêter tout ce système serait juste parfait. Je n’ai pas envie de reperdre une amie que je considérais comme une petite sœur. ; GROUPE ϟ Je fais partis des sacrified lambs, par chance je n’ai jamais été choisi jusqu’à aujourd’hui. Mais je n’ai que dix-neuf ans donc je peux encore vivre dans le stress d’être prise pour représenter mon district. Comment dire c’est assez compliqué, même si je me sens prête je n’ai pas envie de mourir dans un jeu si stupide… ; CREDIT ϟ Toutes les bannières viennent de Tumblr .

QUE PENSEZ-VOUS DU CAPITOLE ?Que dire de plus que ce que j’ai dis un peu plus haut. Je ne suis pas pour le Capitole, nous nous retrouvons comme dans une dictature. Nous pouvons rien faire, nous somme enfermés dans ce district à travailler pour eux. Nous n’avons presque rien en échange, nous sommes leurs esclaves et ils en profitent. Ils mériteraient que tout le monde se rebelle, que les douze districts restant se montent contre le gouvernement. Peut-être que là, les choses changeront mais en tout cas ce n’est pas demain que cela va se faire malheureusement…
QUEL EST VOTRE AVIS SUR LES JEUX ? Au fond il y a énormément de choses et de contradiction au fond de moi. J’aimerais bien tenter l’expérience pour prouver à beaucoup de monde, qu’une blonde est capable de se défendre. Capable de gagner un jeu comme ça, il faut juste est rusé et avoir de la suite dans les idées. Malheureusement j’ai peur à la fois d’y aller car les districts 1, 2, 4 sont bien plus entrainés que nous. Ils travaillent largement moins et donc ont plus du temps à eux alors que nous… Nous ne pouvons pas tellement nous entrainer sauf tôt le matin ou très tard le soir et dans la forêt ou nous n’avons pas le droit d’aller. Je prends souvent le droit pour aller m’entrainer et essayer de chasser pour ramener quelques choses à manger.
QUE PENSEZ-VOUS DE LA MORT D'ARABELLA EVERGLADE ET DE SON MARI ? Je n’ai pas été là quand cela s’est produit, mais j’en ai souvent entendu parler. Il parait que cela à beaucoup bouleversé le capitol. Mais peut-être que c’était ça qu’il fallait faire, mais rien n’a vraiment changé… Je plains en tout cas l’enfant qui n’avait que trois ans quand tout ça s’est produit. Il n’a pas du vraiment comprendre ce qu’il s’est passé, c’est une histoire tragique qui aurait peut-être pu faire changer toute cette dictature. Parfois cette histoire revient souvent, les parents l’explique au plus jeune ainsi de suite. C’est un peu l’histoire la plus importante qui s’est passé après les jours sombres.
QU'AURAIS REPRESENTE OU REPRESENTERAIS POUR VOUS DE PARTICIPER AUX JEUX ? J’ai toujours rêvé de devoir me batte contre quelqu’un, de montrer que je n’étais pas qu’une fille. Que j’avais de la force et que j’avais de l’imagination dans ma petite tête, non je veux tout simplement montrer aux gens qu’une femme venant du district 11 peut gagner autant qu’un homme du district 1 ou 2. Si un jour je participe aux jeux et que je gagne je serais heureuse car j’aurais pu montrer ce que j’avais en moi. Même si je perdrais en final je serais tout de même contente du trajet que j’aurais fais.
QUELS SERAIENT OU A ETE OU AURAIENT ETE VOS ATOUTS DANS L’ARENE ? Mes atouts dans cette arène certainement ma rapidité, je cours très vite et je me fatigue pas très vite. Je sais aussi grimper aux arbres sans trop de difficultés et je manie plutôt bien l’arc. Chaque jour je m’entraine à chasser pour rapporter de la nourriture à mes parents, alors si c’était un humain je pourrais faire la même chose. Je pense qu’avec ces trois qualités je pourrais m’en sortir, mais ça reste à voir.
QUEL SERAIT L'OBJET PERSONNEL QUE VOUS EMPORTERIEZ DANS L’ARENE ? Ce que j’amènerais avec moi c’est un collier. Le collier de ma mère quand sa mère se trouvait encore là. Elle lui avait passé pour les jeux, pour que tout se passe bien comme un porte bonheur. Depuis que j’ai douze ans elle m’a dit que si un jour je devais participer à ce jeux que ce collier allait m’accompagné jusqu’au bout et qu’il me porterait chance. D’ailleurs je le garde en permanence sur moi, je ne m’en sépare plus une seconde. Je le garde toujours autour du cou pour que rien ne m’arrive.
QUE PENSEZ-VOUS DE LA SPECIALISATION DE VOTRE DISTRICT, DE VOTRE NIVEAU DE VIE ? Mon district représente l’agriculture. Peut-être que j’aurais préféré les rubis ou peut-être le charbon, peu importe ce qu’on fait. J’aime ce district car ici tout le monde se parle et s’entraide, nous ne sommes pas ces gens sans cœur. Non loin de là, même si les journées sont épuisantes et que le soir nous n’avons qu’une envie : Manger et que nous ne pouvons pas car la nourriture se faire rare. Je resterais à jamais dans ce district et je ne ferais rien pour changer, je me plais bien ici. Nous respirons la nature et mon travail me plait : Trieuse de fruits. Pas besoin de réfléchir trop longtemps, pas besoin de soulever des kilos. Enfin bref à force je commence à me plaire.

« Quand tu grandira, tu verra que ce monde n’est pas parfait. La vie n’est pas facile et le bonheur n’est pas toujours présent, mais une seule chose. Bat-toi jusqu’au bout, tu devras travailler pour gagner quelques choses d’utiles, tu devras être solide si tu es prise à la moisson. Je t’aime Riley. » Elle me déposait un léger baiser sur le front et me déposait une petite couverture sur le corps et celle-ci partait en compagnie d’un homme. Plus précisément cet homme était mon père, il avait vingt-deux ans et ma mère en avait deux de moins donc vingt ans. Ils étaient enfermés dans ce district eux aussi depuis qu’ils sont nés et comme vous pouvez le constater. Il y avait encore une possibilité pour qu’ils soient pris pour la moisson. Voilà pourquoi cette jeune femme venait de me parler ainsi, mais quand j’aurais grandi j’aurais déjà oublié ces paroles. Pour moi tout cela ne voulait pas dire grand-chose. Je me trouvais dans une petite pièce assez sombre allongé sur un grand lit et je regardais le mur en face, il y avait une petite fenêtre. Je voyais une grande forêt et des oiseaux passant de temps en temps devant cette vitre assez sale d’ailleurs… Je trouvais le temps très long, il n’y avait plus un bruit dans cette maison de bois. Il n’y avait plus que moi, Riley Swann Wildworth, je n'avais même pas un mois et je me retrouvais déjà seule. Je ne connaissais pas ce monde depuis bien longtemps, je ne savais pas ou je me trouvais précisément. Je n’avais jamais vraiment visité encore la nature qui se trouvait autour de chez moi. Je passais souvent mes journées à dormir pendant que mes parents travaillaient très dur pour se nourrir. Le soir ma mère revenait ainsi que mon père avec le grand sourire sur les lèvres, ils m’avaient pris dans les bras et ma grand-mère se trouvait non loin n’avait rien dis. Elle avait juste un léger sourire sur les lèvres, je comprenais alors quelques années après pourquoi ils étaient si joyeux quand ils étaient revenu. Je n’avais que cinq ans et je courrais déjà partout dans le district. Je regardais tous ces gens travailler avec plus ou moins le sourire, je me trouvais dans un endroit ou le bois était totalement présent. J’aidais parfois ma mère à cuisiner, je reconnaissais les différentes viande ou les différents fruits et légumes qu’elle cuisinait grâce à leurs couleurs et à leurs formes ainsi qu’à leurs odeurs. J’apprenais à écrire ainsi qu’à lire comme si je me trouvais dans un endroit ou on avait le temps à ça. Mes parents partaient très tôt le matin et ils rentraient très tard le soir. C’était donc ma grand-mère qui ne pouvait plus faire grand-chose qui m’apprenait à faire différente choses. Elle m’avait montré comment tenir un arc, elle m’en avait fabriqué un à ma taille et des petites flèches. Au bout d’un moment j’arrivais déjà à viser sur différentes choses, comme les sacs en farine ou bien un arbre se trouvant assez loin. Quand l’heure de la moisson arrivait mon père me gardait toujours contre lui et ma mère m’embrassait doucement sur la joue avant de me jeter un dernier sourire. On espérait toujours qu’elle n’allait pas se faire choisir, les minutes paraissaient très longues et le stress commençait à monter. J’avais l’impression qu’une boule venait se bloquer en travers de ma trachée, j’avais du mal à respirer et je tenais fermement la main de mon père avec les larmes aux yeux. Ce petit visage si pâle et souriant d’habitude se transformait en quelques minutes pour laisser place à un visage triste et crispé. Le nom tombait et là fut le grand soulagement, ce n’était pas le prénom de ma mère qui venait de tomber mais celui d’une petite fille qui avait à peine douze ans. C’était sa première année et ça lui tombait directement dessus. Je devais m’attendre à ce que je sois choisie quand j’aurais l’âge requis. Je n’avais pas énormément de chance alors je m’attendais toujours au pire. Les années passaient et j’eu rapidement douze ans. C’était la première fois que je devais me présenter à la moisson pour une nouvelle saison. Je donnais une goutte de mon sang pour m’identifier et je retrouvais des amis. Une voix aigue et stridente à la voix s’élevait dans les haut-parleurs, la vieille dame commençait un long discours faisant devenir l’attente insupportable. Elle empoignait le bout de papier qu’elle glissait entre les mains et elle appela d’une voix douce et joyeuse le prénom d’une petite se trouvant juste à côté de moi. Les jours suivants je ne regardais même pas l’émission je préférais penser à autre chose. Je voulais m’entrainer au risque d’être prise pour l’année d’après ou celle encore après et ainsi de suite jusqu’à mes vingt-deux ans.

Parfois je ne rentrais pas dans la maison, je restais dehors à manier mon arc jusqu’au jour ou je décidais de sortir de cet endroit. Je devais rapporter de la nourriture et ce n’était pas ici que j’allais en trouver, je courrais rapidement avec mon arc dans le dos et quelques flèches. Je n’avais jamais fais ça auparavant et je n’espérais pas me faire prendre, mais que serait la vie si on ne prenait pas des risques ? Je loupais deux fois ma cible et la troisième fois fut la bonne, je venais de viser un petit lièvre qui lui n’avait rien demandé de plus que de vivre paisiblement. Je restais un long moment dans cette forêt et j’avais décidé alors d’essayer de grimper à un arbre. Arrivé au milieu mes bras me lâchèrent à chaque fois et je faisais parfois de longues chutes avant de retomber sur le dos ou parfois sur les fesses. Je ramenais alors le lièvre jusqu’à la maison, le déposant sur la table. J’allais me coucher sans rien dire et chaque jour je faisais ça, chaque jour je m’entrainais et je progressais de plus en plus. J’arrivais maintenant à grimper à tous les arbres, je m’entrainais à courir pendant de long moment. Je voulais devenir rapide et surtout très endurante même avec du poids dans le dos, je passais mes journée à vagabondé un peu partout dans le district. Je venais parfois distraire un peu ma mère ainsi que d’autre femme et le soir je ramenais quelque chose à manger. Voilà ce que je faisais de ma vie, pas grand-chose mais au moins je m’occupais et cela me faisait éviter les Hunger games. Je ne voulais plus en entendre parler car chaque année c’était toujours pareil les adolescents ou les jeunes adultes qui étaient tirés au sort se faisaient tuer souvent dès le début. Les années passaient et je n’étais jamais choisis pour aller représenter le district 7 aux hunger games et tant mieux. Je passais mes journées avec une demoiselle qui avait mon âge et avec qui je m’entendais très bien. Nous avions dix-huit ans toutes les deux. On était comme inséparables elle était une sœur que je n’avais pas eu la chance d’avoir. On passait parfois des soirées ensembles et on parlait de tout et de rien, on s’entrainait parfois ensemble. D’ailleurs on s’était rencontré pendant que je chassais et elle aussi, elle utilisait comme arme un petit arc. On se ressemblait énormément autant physiquement que mentalement, mais il a fallut qu’il se passe quelques choses pour gâcher notre amitié. C’était le jour de la moisson, après avoir pris le temps de me lever et d’enlever la crasse qui se trouvait sur mes pieds et mes mains, j’enfilais une robe que ma mère venait de me donner. Elle prenait le temps de m’attacher correctement les cheveux et on partait comme chaque année mains dans la main en direction de la grande place. L’attente fut moins longue cette fois-ci mais quand le prénom tomba je n’en croyais pas mes oreilles. Je me tournais vers elle, elle tremblait et les larmes se trouvaient au bord des yeux. Elle me prenait une dernière fois dans ces bras avant de monter rejoindre la femme. Le prénom du jeune homme tomba et ce fût une vague connaissance, tous les trois partirent par derrière. C’est vraiment la première année que je regarde les jeux, parfois j’ai du mal à m’endormir en pensant à tous les petits délires qu’on avait eu. Alors qu’elle était blessée au bras et qu’elle se rapprochait du ravitaillement, elle tomba au sol avec une flèche dans le cœur. Les larmes aux yeux je quittais la pièce partant de la maison, partant loin du district. Je partais dans la forêt, là ou j’aurais pu la retrouver il y a peu de temps. Pendant plusieurs mois je ne disais plus rien et je n’avais plus l’envie de continuer à m’entrainer. Je restais parfois des jours sans manger, allongé sur le lit les yeux rivés sur la forêt. Je ne devais pas me laisser abattre. Je devais me ressaisir, elle était peut-être morte mais au moins elle avait réussit à se battre presque jusqu’en final. Les mois étaient très long sans ma camarade de chasse, l’envie n’était plus vraiment là. Mais je devais tout de même me battre jusqu’au bout. J’eu mes dix-neuf ans. Je devais trouver un métier et l’ami de ma mère avait décidé de me prendre comme architecte enfin surtout assistante. Pourquoi ? Il avait vu mes dessins que j’avais fait quand j’avais le temps, il les avais trouvés très bien et j’avais énormément d’imagination. Je passais mon plus grand temps dans un bureau et je chassais le soir le moment le plus risqué, mais je n’avais plus tellement le choix. Le printemps arrivait rapidement, les premières fleurs montraient le bout de son nez et je cueillais énormément de fleurs pour les déposer au pied de l’arbre préféré de Wendy. Celle-ci avait perdu vie il y a quelques mois, mais c’était comme si c’était hier. Je n’arrivais pas à tourner la page et je n’étais pas prête de l’oublier…