PRENOM(S) ϟ Un prénom a la fois simple et passe partout à savoir Aud mais sans e, et oui ses parents semblaient apprécier cette petite différente à l'époque de sa naissance. Son second prénom Esther, reste tout simplement le prénom de l'un de ses grands parents. Un devoir de mémoir en quelque sorte si on peut le dire et le voir comme ça. ; NOM ϟ Dash. Une précieuse et grande famille qui affiche beaucoup de naissance mais également beaucoup de soutien. Elle est fière de le porter, comme ses frères et soeurs avant elle. ; DATE DE NAISSANCE & AGE ϟ Cela fait désormais quinze années que l'adolescente resprire la vie et la joie de vivre cependant c'est durant une fraiche nuit d'été plus précisement le trente et un juillet que cette petite bouille rousse à pointée le bout de son petit nez. ; DISTRICT ϟ Le district numéro onze acceuille sa famille depuis plusieurs générations et cela ne change pas la donne avec elle. L'agriculture est chez elle comme une seconde nature après tout. ; METIER ϟ Encore un jeune âge qu'est quinze ans. Néanmoins malré son statu d'étudiante la jeune fille est une personne très dévoué pour se rendre utile que cela soit d'une manière ou d'une autre. Plutot débrouillarde, elle n'hésite pas à se lancer dans quelques petits travaux pour pouvoir apporter sa contribution à sa famille. ; SITUATION CIVILE ϟ Bien trop jeune pour se poser ce genre de question, il faut avouer que les amours ne sont jamais bien loin mais elle est célibataire. ; ALLEGEANCE ϟ Aud possède peu d'expérience en matière d'existence mais elle reste assez mature et perspicace pour vouloir que la base des Jeux de la Faim cesse. Et ce temps doit arriver selon elle. ; GROUPE ϟ Sacrified Lambs. ; CREDIT ϟ tumblr@dailyhenley.

QUE PENSEZ-VOUS DU CAPITOLE ? Certainement que des choses négatives. Certains vous diront qu'à son âge son avis n'est pas très important mais au contraire pour elle c'est important de le faire savoir lorsqu'on lui pose la question. Pour Aud la cours du Capitole ne demeure ni plus ni moins qu'un minable et ridicule plateau de pantins. Un endroit senblable à un un spectacle de mauvais gout qui se prend le rire de distractions monstrueuses et terrible en guise de passe temps.
QUEL EST VOTRE AVIS SUR LES JEUX ? En venant du district onze, les chances de remporter les jeux de la faim demeure bien maigre et cette petite rouquine quelque peu frêle en apparence voit aussi ses chances lui echapper entre les mains. Aud trouve ses jeux complétement monstrueux et inhumain, comme si jouer avec la vie des enfants n'était qu'un simple jouet qui reviendrait les années suivante. Bien évidement qu'elle la peur, elle réellement consciente de ce que cela implique et puis le tempd défile sous ses yeux plus une angoisse certaine s'installe en elle. Etre éligible, être potentiellement selectionnée, affronter toutes ses brutes de carrières, faire face au monde en les saluant comme si elle était fière de se diriger à une mort certaine ? Non, bien que non elle n'est guère préparé à cela mais attention a ne jamais réveiller l'eau qui dort.
QUE PENSEZ-VOUS DE LA MORT D'ARABELLA EVERGLADE ET DE SON MARI ? Cette situation qui demeure aussi que nous sur cette terre, reste pour l'adolescente un point de non rupture. Elle s'est toujours demandé pourquoi les Everglade avaient laissés derrière eux un enfant en bas âge, sans la moindre protection sans oublier la présence du vainqueur lors de l'expiation. L'étonnement n'a pas eu réellement sa place, mais plutot tout un tas de questionnement sur le pourquoi du comment. Aud est une personne qui réfléchit beaucoup trop et sa perspicacité n'est jamais en reste.
QU'AURAIS REPRESENTE OU REPRESENTERAIS POUR VOUS DE PARTICIPER AUX JEUX ? Pour être tout à fait honnête, cela ne représente rien pour cette jeune fille si ce n'est que peut être elle n'appartient pas au Capitole mais enfin tous les habitants de Panem appartiennent au Capitole comme les pions massifs d'un jeu d'echecs. Avoir la reconnaissance des autres, elle estime ne pas en avoir besoin car elle possède la chose la plus importante au monde l'amour et le sourire de ses proches. Les Hunger Games représentent pour elle un cauchemar noir et sans fin, un cauchemar qui hante beaucoup ses rêves ces dernières semaines.
QUELS SERAIENT OU A ETE OU AURAIENT ETE VOS ATOUTS DANS L’ARENE ?
Une fois jeté dans l'arène vous avez deux options tuer ou être tué. Et c'est sans doute la seconde option que la jeuen Dash choisirait. Elle n'est pas très muclé il suffit de la voit à son apparence mais elle posséde une intelligence peu commune qui viendrait sans doute à bout de plusieurs piéges - pendant combien de temps elle ne le sait pas mais cela serait déja ça de gagner -. Les armes ne sont pas ses objets de prédilections, mais si vous cherchez la petite bête alors vous y découvrirez une personne adroite et précise avec les couteaux. Rare sont les fois où la rouquine manque sa cible, et elle doit cette précision à son temps passé dans les champs en été lorsqu'elle doit récolter les fruits bien trop haut pour elle. Tuer ou être tué, la loi du talion prendrait sa place et elle se défenderait jusqu'au bout même si l'issu de son destin serait déjà tout tracé.
QUEL SERAIT L'OBJET PERSONNEL QUE VOUS EMPORTERIEZ DANS L’ARENE ? Lorsqu'elle a commencée à prendre sur elle quelques petits travaux pour aider sa famille, Aud ne cessait de penser à l'espoir qu'un jour son père irait mieux. Très généreuse de nature, elle ne cesse de croire en l'espérance qu'un jour les aiguilles de la chance tournerait en cette faveur, la faveur où son père reprendrait plus ou moins une vie normale. A cette époque là, son frère ainé lui a remis un bracelet en cuir orné d'une pierre blanche, cette même pierre lisse et plate qu'elle avait trouvée en jouant sur les chemins rocailleux. Depuis elle le porte à son poignet gauche, et c'est sans doute cela qu'elle emporterait avec elle au sein de l'arène.
QUE PENSEZ-VOUS DE LA SPECIALISATION DE VOTRE DISTRICT, DE VOTRE NIVEAU DE VIE ? N'étant pas du genre à se plaindre, Aud n'en a guère l'intention. Elle à grandit et grandit encore dans un univers plus ou moins dur chaque jour mais elle apprécie la culture que produit sa famille et n'hésite pas à cummuler plusieurs petits boulots pour améliorer les conditions des siens. Très volontaire et débrouillarde, elle donne le meilleur d'elle même, même si cela n'est pas toujours évident. L'agriculture est un domaine qu'elle apprécie et qu'elle trouve agréable même si ce n'est pas toujours une partie de plaisir.

Apprivoiser le monde était une source complètement folle de nos jours, c’était comme attraper de la poussière, c’est éphémère, illusoire et mensonger. La vie était dure et sans pitié mais en dépit de cette vision de l’existence réelle des choses qui l’entouraient, Aud tenait à conserver une partie d’insouciance. Elle tournait, tournait et tournait encore tel un oiseau en apesanteur les bras levés en croix pour accentuer cette sensation de vitesse et de bien être. Le vent de fin d’après midi caressait sa chevelure d’un roux cuivré, ses paupières closes vibraient sous la sensation de cette vague de bien être intérieur et soudainement le tourni lui vint sans crier garde et elle se lassa tomber parmi les champs qui environnaient les alentours de leur maison. Sa maison. La maisonnée de son enfance, une enfance où pour ainsi dire elle était l’enfant du milieu, une place comme une autre et dont elle ne se plaignait jamais. Son frère ainé Kenneth disait souvent que les liens frères et sœurs étaient les plus importants, les plus certains. Elle aimait croire les paroles de son grand frère car elles étaient toujours sincères, jamais ordinaires. Couchée sur le dos, elle conserva ses prunelles fermées pour sentir la brise fraiche faire tournoyer ses cheveux légèrement ondulés, puis soudainement elle les rouvrit avec douceur pour observer la couleur des blés qui toujours dorés se pliaient sous l’impulsion du vent. Et si le vent soufflait de la musique ? Et si la musique avait besoin du vent lui-même ? Son imagination demeurait sans doute trop grande, mais elle aimait cette idée où ses envies illusoires n’avaient pas de limites, après tout il n’y avait que cela que les adultes ne pouvaient pas encore lui enlever. Avoir sept années c’était peut être ça, prendre le large jusqu’à ne plus croire ? La fillette savait de quoi été forgée une existence au sein des douze districts de Panem, elle n’était pas nait de la dernière pluie, juste un peu trop mature pour son âge et son silence parfois déconcertant amusait son abondante fratrie. Allongeant son bras gauche pour saisir une petite fleur violette, aux couleurs des lilas et à la couleur azuréenne du ciel elle esquissa enfin un premier sourire, qui ne cessa de s’agrandir lorsqu’elle sentit le parfum de cette fleur parvenir jusqu’à ses narines. Un doux parfum des fleurs des champs, un apaisant parfum d’espérance à souhait. L’espérance n’a pas de limite, tout comme l’imagination, se mit elle à penser pour elle-même. La rouquine reporta son attention vers le plafond éclairé qu’était le ciel, quelques nuages blancs obstruaient les rayons du soleil, ces derniers dansaient sur sa peau de porcelaine, mais elle n’était pas fait de porcelaine pour elle cette matière était tout simplement peu solide juste bonne à regarder, car elle finissait toujours pas se briser. « Aud ! Aud ! ». Soudainement une voix tonitruante et portante s’éleva dans les airs, une voix coutumière qui n’était que celle de son meilleur ami. Ce dernier était le fils du cordonnier de la ville et beaucoup des habitants du district appréciait sa famille, Aud quand à elle appréciait beaucoup leur fils Xander. Tous deux étaient totalement différents de comportements mais après tout les divergences faisaient parfois convergence et c’était le cas en ce qui les concernaient tous les deux. Elle se redressa dès lors en position assise pour lui faire signe de la main en guise de réponse. La malicieuse rigola en le voyant courir en sa direction puis le suivi du regard lorsqu’il s’installa à son coté, le souffle quelque peu saccadé par sa course. « Tu es impossible à trouver Aud, sérieusement tu devrais me dire où tu vas la prochaine fois ! ». Il avait beau avoir trois ans de plus qu’elle, il avait toujours cet air soucieux qui le travaillait lorsqu’il parlait d’elle ou de ses nombreuses escapades après l’école. Mais ses fuites en solitaire dans les alentours de sa maison lui faisait du bien, son père était malade et la vie était dure, elle avait besoin de s’évader, de prendre de la distance dans ses rêves chimériques même s’ils ne duraient qu’un laps de temps assez court. « Je sais, je sais Xander. Mais tu arrives au meilleur moment figure toi. ». Lui dit elle en souriant, ses pupilles brillant de malice et de fierté. Elle se retourna légèrement, pour saisir quelque chose au fond de sa besace en cuir qu’elle trainait un peu partout avec elle depuis son entrée à l’école. « Si tu n’étais pas ma meilleure amie Aud, je dirai tout simplement que tu possèdes un véritable grain de folie tu sais. ». Poursuivit le brun aux nombreux reflets de jais, alors qu’un sourire de loup se dessinait sur traits encore enfantins. « Je sais. Mais regarde un peu ça ! ». Répliqua-t-elle avec une pointe d’impatience alors qu’elle tendait un morceau de bois sculpté à la main. « Ok et je suis censé faire quoi avec ce morceau de bois moi ?! ». La Dash secoua amusément son visage d’un mouvement péjoratif comme pour se moquer de son camarade de toujours. « Ce n’est pas un morceau de bois Xander, c’est une flute de pan, un instrument de musique voyons. ». Le jeune adolescent soupira en se demandant pourquoi sa meilleure s’émerveillait pour si peu. En même temps c’était tout elle. Toujours rêveuse, toujours soucieuse d’autrui, toujours combattante et maladroite. Il sourit en y songeant lorsqu’il fut tiré de ses pensées par un son harmonieusement mélodieux et valsant à la fois. Aud avait portait la flute de pan non loin de ses lèvres et un son agréable s’empara des lieux. Les oiseaux habitants les environs mêlèrent leurs chant aux sons que produisait l’instrument de la rouquine, laissant ainsi un souffle d’espoir s’épanouir parmi la nature du district onze.

Au petit matin en cette fin de semaine, les ruelles du district étaient presque désertes si ce n’était que les commerçants préparaient l’ouverture de leurs magasins. Passant une sa tête au travers de la fenêtre, la jeune rouquine à la crinière de lionne pu sentit l’odeur fraiche de la brise matinale lorsqu’elle entendit des bruits de pas se rependre sur le vieux planché grinçant de la maison. Des pas déterminé, des pas qui annoncé aussi un départ pour le travail. « Qu’est ce que tu fais debout à cette heure si matinale toi ? ». Lui demanda sa sœur ainée d’une moue curieuse et joviale tout à la fois. Il n’était pas rare de voir Prudence sourire, et lorsque sa sœur lui lançait une telle expression elle se disait une fois de plus que tout espoir n’était pas perdu. S’approchant doucement de sa cadette, la brunette déposa doucement une main sur sa chevelure rassemblait en une natte tressée à la va vite, ce qui provoqua un rire masqué chez sa frangine. Aud se contenta de regarder une toute dernière fois par la fenêtre du petit salon et se retourna pour prendre ses affaires dont le tout tenait dans une besace en cuir. « Je pars travailler chez Emma, j’aimerai lui faire plaisir en lui préparant un petit déjeuner une sorte de gâteau que j’ai trouvée dans le livre de cuisine de maman … ». Lui dit elle en lui montrant d’un signe de tête le manuel de cuisine qui jonchait un peu plus loin sur la table en bois. Aud savait combien ses ainés n’étaient pas réellement pour qu’elle travaille mais elle voulait absolument venir en aide à leur famille, cela lui permettait de se rendre utile et de ramener un peu de quoi faire vivre la famille même si ce n’était pas grand-chose au moins elle n’était pas inutile. Oui elle était jeune, et oui elle n’était pas d’un bras de secours très positif mais c’est toujours des bras de plus sur qui compter après tout ? Emma lui avait proposé ce petite boulot de temps en temps afin qu’elle puisse éviter de travailler dans des conditions peu louables, cela la petite rousse l’avait très vite compris mais même sans cela elle aurait été volontiers car Emma était tout simplement Emma. Un prénom de quatre lettres qui savait parfaitement s’ouvrir et avoir des mots réconfortants quand bien même cela n’était pas toujours facile pour elle depuis son retour au district onze. Elle ne laissa pas le temps à sa sœur de répliquer qu’elle avait déjà passé le pas de la porte en direction du village des vainqueurs où l’attendait l’amie de la famille, la vainqueur récente du district onze. Elle n’était pas un vainqueur mais une personne humaine et vivante avant tout. Les épreuves n’avaient pas dû être de tout repos pour elle, et le déroulement de sa vie devait sans aucun doute défiler dans son esprit comme un vieux film en cycle perpétuel. Emma était une survivante pour beaucoup des habitants et surtout pour le Capitole mais aux yeux noisettes de cette petite lionne sauvage, la jolie blondinette était une amie aimante et soucieuse grâce à laquelle elle pouvait encore échappé à une vision horrible de l’existence. La Moisson, les Jeux de la Faim, les annonces du Capitole, la misère (…) Lorsqu’elle était en compagnie de la meilleure amie de sa sœur, tout changeait tout naturellement et tout simplement comme si le monde vous tendez les bras pour vous accueillir. Accentuant sa marche en direction du domicile de la jeune femme, Aud s’arrêta quelques instant devant l’entrée de cette belle maison qui était deux fois - voir trois fois - plus grande que leur petite fermette. A cette pensée, elle esquissa un sourire discret en toqua doucement à la porte d’entrée avant d’y s’y aventurer. La maison était limpide et moderne, mais surtout silencieuse ce qui amena l’adolescente à se dire que peut être Emma se trouvait à l’étage. Elle hocha objectivement la tête avant de se rendre à la cuisine pour mettre son idée à exécution. Les tâches ménagères comme l’art culinaire n’avaient plus aucun secret pour la jeune Dash, qui malgré son jeune âge savait préparer des mets savoureux quand elle ne les faisait pas bruler, mais avec la recette de sa figure maternelle aucune crainte à avoir.

La chaleur ambiante du four laissa une odeur chaleureuse de cannelle s’évaporer dans la cuisine se propageant doucement dans les autres pièces de la demeure. Surveillant son gâteau d’une œillade attentive, Aud se reporta à sa tache ménagère qui était de ranger la vaisselle récemment emprunter par les membres de la famille très certainement. Elle adorait observer les pâtisseries prenant enfin des couleurs boisés et cuivrés lors de la cuisson, et également sentir la chaleur apaisante que procurait le four au sein de la pièce. « Tiens, tu es déjà là ? Je ne t’avais pas entendu entrée, mais cette délicieuse odeur m’a sortie de ma chambre et en humant cette senteur je me suis toute de suite dit que tu étais présente. ». Lui avait dit la propriétaire d’un lieux d’un sourire sincère et joviale. Instinctivement, Aud déposa doucement la vaisselle sur le plan de travail et pris la meilleure amie de Prudence dans ses bras. Elle était heureuse de la voir, mais aussi heureuse de prendre soin comme pour garder une œillade pour Kenneth. Ces deux là avaient vécus une histoire compliquée qui ne regardait que leurs propres personnes, mais les savoir toujours en contact permettait sans doute d’atténuer la douleur ? Oui peut être bien … Rien n’était perdu, jamais. « Oui, désolé de t’avoir dérangée si tôt mais je voulais te faire plaisir en essayant une recette familiale. ». Déclara-t-elle d’une petite voix calme et posé tout en regardant le plat tourner dans le four comme une danse naturellement ambiante, rythmé sur un mouvement redondant. « C’est gentil de toujours penser à moi Aud, merci. ».

En fin d’après midi lorsqu’elle recouvra le chemin du retour vers la fermette de sa famille, l’adolescente aux nombreux reflets cuivrés ne pu échapper à l’appel coutumier de son grand frère. Kenneth l’interpella non loin des champs qui entamaient une petite partie du paysage environnant les lieux. « Tu rentres drôlement tard aujourd’hui ! ». La réprimanda-t-il légèrement inquiet et soucieux à la fois. Kenneth et Aud ont toujours été proches l’un de l’autre et le silence de l’un savait toujours apaiser les tourments de l’autre. Cela avait toujours été ainsi et cette constance de lien assurait une certaine sécurité au sein de leur fratrie. Le brun s’approcha de sa petite frangine, avant de poser sur elle un regard patient mais emplit d’une certaine curiosité. Il attendait des réponses de sa visite et de son travail chez Emma, parfois il n’attendait que cela ce qui provoqua un rire moqueur de la part de la rouquine. « Oui j’étais chez Emma, j’ai travaillée un peu plus longtemps que prévu c’est tout … ». Elle le contourna pour rentrer en direction de la maison lorsqu’il reprit avec un peu plus d’impatience cette fois. « Et. Et c’est tout ? ». Aud se retourna vers son frère et laissa un léger silence planer avant de poursuivre d’une intonation sincère et heureuse. « Emma va bien, et pour ta gouverne si tu veux lui faire plaisir penser à lui du gâteau à la cannelle, elle adore ça ! ». Aud rigola de bon cœur alors que son frère mêlait son rire au sien avant de passer un bras sur ses épaules pour qu’ils rentrent ensemble dans la maison de leur enfance. Le sourire était toujours présent, l’harmonie des liens le demeurait aussi mais pour combien de temps encore ? Tant que l’espoir est possible et durable rien ne pourra mettre un terme à cette idéal qui était encore leurs vies malgré tout.